« Notre ambition est de participer de manière active à la préparation des athlètes français grâce à la qualité de nos infrastructures sportives (NDLR : des sites comme les stades Tribut, de la Licorne, de Flandre, le Stadium du littoral, l’espace Vanuxem, la halle de sports Dufour, Sportica, le PAarc, le Palais du littoral entre autres…), rappelle Martine Arlabosse, vice-présidente chargée du Sport de haut niveau. Nous souhaitons également créer des événements populaires et sportifs, nous allons par exemple permettre à des habitants de l’agglomération de vivre ces JO de Paris. Et signer des partenariats avec quelques fédérations. »

Première fédération à choisir Dunkerque comme terre d’accueil pour préparer ses Jeux olympiques : le volley-ball. « Avec qui Dunkerque a noué une belle histoire d’amour, a souligné Patrice Vergriete, président de la CUD, lors de la signature de la convention departenrait avec la fédération présidée par.  Avec l’idée de formation et de jeux, nous avons vu ce que ça a donné avec Barthélémy Chinenieze lors des derniers JO. Avec de l’enthousiasme autour du beach-volley (dans lequel excelle le Dunkerquois Quincy Ayé), nous avons vu lors des derniers championnats de France organisés à Malo que nous avons la plus belle plage de France pour ce sport. »

Grâce à ce partenariat, et à ceux signés prochainement (handball, sports paralympiques…), l’ambition de la CUD est de développer la pratique de ce sport au-delà du seul horizon 2024. Et d’y glaner au passage quelques jolies médailles, comme celles de Barthélémy Chinenyeze (volley-ball), de Kévin Le Cunff et de Corentin Ermenault (paracyclisme), sans oublier les parcours d’Albane Dubois (voile 49er FX), d’Antoine Pérel et d’Olivier Lyoen (paratriathlon) et de Marc-Antoine Olivier (natation eau libre), des athlètes qui ont rencontré le public dunkerquois fin septembre lors de la remise de la médaille Jean-Bart par Patrice Vergriete.